Veritas vos liberabit...

Veritas vos liberabit...

La vérité nous libérera...C'est ainsi que nous avons décidé de répondre à la multiplicité des agressions et atteintes personnelles des envieux, médisants, commères et corbeaux en tous genres qui pervertissent les formidables outils du net pour atteindre lâchement ceux qu'ils ne peuvent salir autrement.
Parole aux victimes donc mais surtout à la vérité et au savoir.
Pas de subjectivité, seulement des éléments objectifs, des publications et des faits confirmés afin de répondre dignement et avec stoïcisme aux allégations, détournements, médisances, mensonges et crapuleries en tous genres de l'avanie ordinaire.

Gerald Tissier


mardi 7 juin 2011

ULTIME RÉPONSE AUX QUATRE ANNÉES DE MENSONGES, DE MANIPULATIONS ET DE HAINE DE MONSIEUR PIERRE MURCIA

Par José Manuel Cano Lopez
Contrairement à ce qu’écrit M. Murcia à longueur de pages sur son blog, ce qui est au cœur de nos désastreuses relations n’a jamais été son désir de poursuivre avec moi un « dialogue démocratique », ni de soutenir « Les Paysages Nocturnes », ni le projet de « La Gare du Sud ».
Certes, de temps à autre pour faire bonne mesure, il a semblé « encenser » ces projets. Mais ces quatre années d’écrits, de « posts », de mails, de coups de téléphone, de textos, de photos et d’images n’ont eu pour seul objectif que de détruire, salir et massacrer non seulement les projets, mais aussi les personnes.
Comme il écrivait le 21 novembre 2009 dans un mail envoyé à de nombreuses personnes :
« Nous même, comme nous y sommes fermement résolus, nous ne feront pas de quartier. Si quelques imbéciles sans coeur s'en étonnent, pourquoi mollir ? »
Et M. Murcia ne fera pas « de quartier » pendant ces quatre longues années : colportant des ragots, manipulant les faits et les personnes, insultant à tour de bras. Son unique but : détruire tous les projets menés au Grand-Pressigny, me détruire moi et ceux qui me sont proches.
Le résultat est là, et j’espère que cela fait actuellement son bonheur, il a en partie réussi son entreprise haineuse. Mais en partie seulement...
Voici les preuves de son parcours de haine et de salissure.

2007 : RENCONTRE ET DROIT DE RÉPONSE
Ma rencontre avec M. Murcia démarre en juillet 2007 à l’occasion de l’édition des « Paysages Nocturnes » intitulée « Portraits de familles avec d(r)ames ».
Nous utilisons, depuis toujours, une grange privée que nous appelons la Grange Bulot, du nom de son ancien propriétaire.
Nous demandons aux nouveaux locataires, récemment installés, l’autorisation d’utiliser le lieu. M. Murcia, il s’agit de lui, accepte et nous accueille, durant tout le mois, de manière fort aimable. Il photographie les répétitions, écrit des communiqués dans le journal La Nouvelle République dont il est devenu le correspondant local.
Le mois s’achève marqué par un dernier week-end (celui des trois représentations) sous la pluie.
Je n’ai plus aucune nouvelle de M. Murcia jusqu’à février 2008…
Je suis alors en création avec le Théâtre de Hràdec Kralové en République Tchèque. Sur internet, je lis le compte-rendu (anonyme) de l’assemblée générale de l’association Côté Jardin qui co-organise les « Paysages » avec ma compagnie dans la Nouvelle République de Loches.
Stupéfaction, incrédulité : un ramassis de ragots qui détruit l’édition de juillet 2007. Nous décidons avec le président de l’association de demander un droit de réponse au journal qui le publie (extrêmement raccourci) dans son édition du 21 février.

Voici l’intégralité du communiqué, il est essentiel pour la suite de cette longue histoire :
« C’est avec consternation et incompréhension que nous avons pris connaissance de l’article paru dans vos colonnes le jeudi 14 février intitulé « Adieu l’Animation Pressignoise et bonjour Côté Jardin ».
En effet, l’auteur anonyme du compte-rendu de l’assemblée générale de l’association s’est livré en quelques lignes à une démolition en règle du projet artistique des « Paysages Nocturnes »… Loin d’appuyer son analyse sur un véritable compte-rendu de l’AG, ni sur des faits précis et vérifiables, l’auteur a surtout colporté, en les généralisant, quelques ragots qui courent allégrement.
Des faits :
1. Les chiffres des recettes des Paysages Nocturnes : « ils sont mauvais » (dixit l’auteur anonyme) :
Effectivement, les recettes ont été inférieures aux prévisions. Mais soyons clairs le léger déficit de l’édition 2007 n’est que de 3 % du budget engagé. Certes ce fut une déception pour nous tous mais rien de catastrophique !
2. Les raisons de cette baisse de fréquentation : « Pour beaucoup la raison est claire : les organisateurs se sont éloignés des habitants du Grand-Pressigny pour regarder leur intérêt propre ; le festival n’est plus ce qu’il était à l’origine ; les thèmes sont trop intellectuels voire macabres. » (dixit l’auteur anonyme) : La critique est injuste, blessante et totalement erronée.
Les Paysages nocturnes, depuis leur création en 1999, ont suivi la même ligne artistique : un théâtre par et pour tous et non les désirs personnels d’une poignée d’individus. Le bonheur partagé de milliers de spectateurs, la reconnaissance des professionnels et des institutionnels en sont le témoignage irréfutable.
Quant au reproche d’intellectualisme des thèmes abordés, il frise le ridicule. Par ailleurs, on ne peut que s’indigner quand le mot « intellectuel » devient une critique…
Faut-il proposer des spectacles médiocres et abrutissants aux habitants du Grand-Pressigny ? Le public en milieu rural est-il un sous-public juste bon à « s’amuser » et incapable de réflexion et d’émotion ? 
3. L’édition 2007: « le sujet de l’été a souvent été jugé rébarbatif et sinistre.. » (dixit l’auteur) De nouveau, l’auteur du compte-rendu se livre à une généralisation sans vergogne de quelques critiques réelles.
Tout d’abord, la tonalité générale du spectacle s’inscrivait dans une vision de la vie familiale où dominaient les sourires, la tendresse, les rires et la dérision, comme l’écrivait Vanina Le Gall dans sa critique  intitulée «  Des Paysages nocturnes qui s’amusent de la mort. » (NR du 31 juillet 2007) : « Détonante. L’édition 2007 des Paysages nocturnes. Et cette année encore, les comédiens amateurs dirigés par José Manuel Cano Lopez ont fait mouche. Cette année, il s'agissait de se perdre dans les méandres des histoires de familles. (…) A mourir… de rire Cette année encore, l'association l’Animation Pressignoise et la troupe de Cano Lopez ont gagné leur pari. Vivement l'année prochaine ! »
Effectivement, certains spectateurs ont été surpris, voire choqués, par la thématique explorée l’été dernier : la famille de la naissance à la mort. Mais l’immense majorité du public fut marquée par l’émotion, la tendresse et l’humour de cette leçon de vie.

4. Les conditions méteo : « On invoquera à tort, des conditions méteo déplorables. » (dixit l’auteur anonyme)
Les seules raisons de la baisse de fréquentation furent les conditions climatiques : trois jours de pluie et de temps très frais sur le Grand-Pressigny et l’ensemble du département ! Les faits sont incontestables : de nombreuses manifestations en plein air furent annulées ou extrêmement perturbées par le mauvais temps.
Le dimanche soir, nous avons dû arrêter le spectacle quarante minutes avant la fin.
Les Paysages nocturnes sont vivants et bien vivants. Unis par la même passion, le même engagement, le désir vivace de mener à bien un théâtre par et pour tous, nous préparons la 10° édition de cette belle aventure… »

L’auteur du compte-rendu n’était autre que M. Murcia, le correspondant local. Et de nouveau, incompréhension et stupeur ! je ne comprendrai que bien plus tard que ce compte-rendu révélait les pratiques de M. Murcia : aucune vérification de source, colportage de ragots, aucune réflexion de fond ni de mise en perspective.
J’ignore à ce moment-là que ce droit de réponse va entraîner des années de haine. Car M. Murcia n’accepte pas que l’on le contredise, ni que l’on remette en cause son infaillibilité « journalistique ».

2008 : RENDEZ-VOUS RÂTÉ, JUILLET DE FOLIE, EXCUSES RÉITÉRÉES
Quelques mois passent, aucune nouvelle…
L’été arrive et la préparation des « Paysages 2008 » intitulés « Songes de nos nuits d’été »…
M. Murcia demande à me rencontrer pour évoquer une collaboration avec son blog. Un premier rendez-vous raté :
De :            murcia.pierre@wanadoo.fr
Objet : Pierre Murcia
Date : 24 juin 2008 12:56:10 HAEC
Salut José, On s'est raté l'autre jour chez dédé, c'était fermé mais de toute façon j'aurais eu très peu de temps. Ça serait bien qu'on se voit quand même, tu peux passer à la maison prendre l'apéro un de ces soirs, il suffit qu'on voit ça pas tel. Si tu me donnes un numéro de tél... A+ Pierre

Nous rencontrons finalement M. Murcia, Alan et Martine Poquet et moi-même, le 4 juillet dans nos locaux de la Bourrelerie. Malgré le passé, nous nous sommes accordés pour collaborer avec lui sur le Festival, mais une discussion nous semble indispensable.
La réunion dure à peine un quart d’heure. M. Murcia se refuse à toute explication. Il est là pour faire une interview « journalistique » et veut juste poser cinq questions et que j’y réponde. Je lui fais remarquer qu’il nous faut discuter, comprendre ce qui s’est passé, que je refuse de répondre à des questions imposées, quel que soit le journaliste, sans qu’il y ait de désir de dialoguer.
Alan Poquet lui demande s’il a une carte de presse. La réaction de M. Murcia est d’une violence inouïe : il se lève en criant et part en claquant la porte.
Je ne comprendrai, une nouvelle fois que beaucoup plus tard, l’impossibilité de mener une discussion sereine et responsable avec lui.
Le mois de juillet est un cauchemar dans nos relations avec M. Murcia : agressions, violence, propos irrationnels, tentatives d’explication qui dérapent… Tout le monde subit sa rage : mon équipe, Alan Poquet, les bénévoles, moi-même et y compris sa propre compagne qui commet la « faute ultime » de jouer dans les « Paysages ».
M. Murcia assiste à une représentation. Ce sera la seule mise en scène signée par moi à laquelle il assistera, ce qui ne l’empêchera pas, pendant des années, de salir mon travail de metteur en scène. Telle est la conception du « journaliste – critique » de M. Murcia : salissez sans cesse ce que vous ne connaissez pas, il en restera toujours quelque chose.
Ce mois de juillet de violence donnera lieu à une multitude de « posts » invraisemblables dans le futur blog de M. Murcia.
L’été s’achève enfin.
Le 1° septembre, M. Murcia me redonne signe de vie.

De :                 murcia.pierre@wanadoo.fr
Objet : Bonjour José
Date : 1 septembre 2008 14:52:36 HAEC
Bonjour José, J'espère que tu n'as pas trop de rancune après les mauvais traitement que je t'ai fait subir, pour moi, quelques semaines de vacances à Montpellier m'ont donné à réfléchir et d'élaborer par la discussion les choses que tu as dites, notamment à propos du problème des ragots, qui est à mon avis un vrai problème. Tu dois savoir que j'ai souhaité participer au festival avant même de mettre les pieds au Grand Pressigny, par mon propriétaire, et que si je ne l'ai pas fait c'est que je suis auteur et qu'il faut du temps pour comprendre de quelle façon je peux proposer un travail d'écriture et vous, naturellement, le rémunérer. Sujet délicat. Le pain des Pressignois. Tu en sais quelque chose... Il y a de la place dans mon désir de te donner la parole et celui de travailler avec toi, cette place a toujours été, tu ne dois pas en douter. Ca serait bien si on pouvais se rencontrer. Fais-moi signe, je te prie. Pierre

Deux éléments importants me rassurent et m’intriguent : il reconnaît « les mauvais traitements » qu’il m’a fait subir (aveu qu’il oubliera dans son futur blog), il souhaite me proposer des textes et que je le « rémunère ». Cette dernière information prendra tout son sens au fur et à mesure du cauchemar.

Les mois passent, entrecoupés de brefs échanges :

De :           murcia.pierre@wanadoo.fr
Objet :           Rép : Bonjour José
Date :             23 septembre 2008 13:48:13 HAEC
Salut José, J'espère que tu me parleras de cette expérience en République Tchèque, apparemment tu as tissé des liens là-bas, j'aimerais en parler, mais surtout pas te mettre en colère, c'est toi qui vois si tu veux me balancer des infos. Sinon, je te souhaite bon ouvrage et j'attends ton signe. A+ Pierre

José Manuel Cano Lopez a écrit :
Salut Pierre,
aucun problème pour te rencontrer. Je ne t'ai pas répondu avant car je rentre de l'étranger. Ce ne sera pas possible de se voir avant octobre, je repars créer en République Tchèque. Je te fais signe dès mon retour. José

De :                 murcia.pierre@wanadoo.fr
Objet : Notre rendez-vous
Date : 16 octobre 2008 15:03:08 HAEC
Bonjour José, Au hasard j'ai pu lire la brochure du Plessis et j'ai vu que pour la prochaine saison il est question de faire appel à des écritures contemporaines. Si j'ai bien compris le projet et s'il se maintient je souhaite naturellement être sollicité comme auteur - il s'agit pour moi de te rappeler un souhait que je t'ai déjà formulé et je ne te tiendrai aucune rigueur si ton choix ne porte pas sur moi, justement: en plus de parler des difficultés de communication que nous avons rencontrées au plan journalistique il me paraît utile de me présenter aussi comme écrivain pour que mon appréciation du théâtre et du projet sur le Grand Pressigny soit tout-à-fait claire. (…) Il me semblerait regrettable que, pour des raisons mal entendues, les tiennes, les miennes, nous passions à côté l'un de l'autre, à cause de la cour de droite. Ne manque pas de me faire signe, et à bientôt. Pierre

Et toujours ses propositions d’auteur dramatique, mais aussi des positions étonnantes : « Il me semblerait regrettable que, pour des raisons mal entendues, les tiennes, les miennes, nous passions à côté l'un de l'autre, à cause de la cour de droite. »
Son positionnement sur « la cour de droite » prendra tout son relief dans les écrits à venir !

Notre dernier échange renforce ce qui semble se mettre en place : son désir de proposer des textes théâtraux (je n’y vois aucun inconvénient et je suis même curieux de le lire, j’avais appris qu’il avait travaillé sur Shakespeare et Bond avec David Ayala, un metteur en scène que j’apprécie) et la reconnaissance de son comportement brutal («  La seule chose qui ne m’a pas permis de m’expliquer de façon moins brutal (…) le fait que je n’ai pas su assumer complètement les articles problématiques ») .

Le 3 déc. 08 à 08:29, Murcia a écrit :
Bonjour José, Tu as un auteur au Grand Pressigny, tu ne dois pas me laisser passer, ni me laisser partir. Ce n'est pas possible. Si tel devais être le cas, après avoir prêté ma grange, écrit tellement d'articles, fait tellement de beaux rêves pour une écriture pas soumise - une vraie écriture quoi - il me semble que ce serait du gâchis. La seule chose qui ne m'a pas permis de m'expliquer avec vous de façon moins brutal, et surtout en prenant le problème à la base, c'est notre indisponibilité et le fait que je n'ai pas su assumer complètement les articles problématiques. Parce qu'aujourd'hui je suis en difficulté psychologique et sociale. Et je ne peux pas toujours faire le premier pas. Tu m'avais dit que tu ferai quelque chose.  Fais-tu quelque chose? Quoi?
Pierre

Objet : Rép : Alors?
Date : 5 décembre 2008 16:45:08 HNEC
À :            murcia.pierre@wanadoo.fr
Pierre, je suis actuellement complètement débordé (en plein Parcours de compagnies au Plessis). Je te contacte la semaine prochaine. Je ne t'ai pas oublié, sois en sûr. A très vite, José

Je suis prêt, une nouvelle fois, à le rencontrer et à essayer de bâtir une nouvelle relation.

2009 : PREMIER BLOG ASSASSIN
Et là, un long silence incompréhensible qui est rompu le 12 février par le premier « article » de son nouveau blog.
Le 22 février 2009, il fait profession de foi de ce qui constituera son tissu de haine et de mensonges (nous sommes bien loin de son prétendu « dialogue démocratique »).
« Notre intention est d’être lu par le plus grand nombre dans un esprit de vengeance. Nous n’avons pas vu la pièce mais qu’importe à celui qui veut raconter n’importe quoi, pourvu d’atteindre son but, comme a su si bien le faire José Manuel Cano Lopez à notre égard. »

Voici quelques extraits du premier « article » du 12 février :

12 février 2009 by Le fantôme de l'écrivain
(…) Il est bon que l’on sache, avant que l’Education Nationale ne me mette en fiche, que la fondation Beaumarchais ne m’estampille et que José Manuel Cano Lopez ne me mette en pièce, qu’il puisse enfin s’apercevoir, sur mes décombres et ceux de notre vieux château,  qu’il y a un écrivain à ses pieds, et qu’il ne s’en était pas aperçu. Euh, si, il s’en était aperçu, mais les écrivains vivants (les vrais, pas les parisiens de cour) ça cause. C’est embêtant, on aimerait les faire taire, les mettre en dialogue une bonne fois pour toutes.  Ou les transformer en colporteurs de ragots, en éboueur du Net (…)
L’ « écrivain » incompris est vexé et il va se venger. Vont suivre trois mois de haine, de mensonges, de manipulations, de propos diffamatoires d’une violence inouïe.
En voici quelques preuves :

13 février 2009 by Le fantôme de l'écrivain
(…) et je veux aussi  parler du gourou, le metteur en scène de Tours, José Manuel Cano Lopez. Ces gens-là sont des violents. je les aime bien, ils sont attendrissant quelque part,  mais ils sont violents, ils se sont comporté comme des voyous qui défendent un terrain vague. (…) Et puis il y a une autre façon d’être violent, celle de José Manuel Cano Lopez, le gourou, qui aura essayé par tous les moyens de me faire perdre mon sang froid (sans y parvenir à son grand dam), calomnie, médisance, agression verbale et physique, et pourquoi tant de férocité?  J’assumerai mon propos devant les tribunes de France. Je raconterai comment Alan Poquet et José Cano Lopez, avec la caution lâche de leur pharmacien et maire François Nicolas Joannès, ont mis toute leur application à vandaliser ma réputation d’écrivain au Grand Pressigny. (…) Mes écrits étaient bons, mes articles pertinents, et ce metteur en scène Tartuffe  de prétention internationale a donc, de son propre aveux, comme je le raconterai en détail, sorti son grand jeu, sa grande comédie pour monter les notables du Grand Pressigny contre moi.  (…) Ceux qui veulent m’aider dans ma démarche peuvent le faire de différentes manières, qu’ils sachent que l’écriture française leur en sera éternellement reconnaissante et que je me contenterai d’infiniment moins que José Cano Lopez, qui mange à lui seul des milliers d’euros, sans compter sa famille et ses amis.
José Manuel Cano Lopez dit le Tartuffe est un artiste engagé dans la culture d’arrière-garde. Il pense en effet qu’il suffit d’avoir un nom espagnol et d’avoir mis en scène Garcia Lorca pour être un grand resistant latino-américain. Grande trouvaille de Cano Lopez, se faire passer pour l’avant-garde auprès des pigeons qui alimentent chaque année la troupe de professionnels qu’il met au service du Grand Pressigny. Ils sont tous convaincu de participer à une incroyable aventure, inédite.  On s’en réjoui d’autant plus que la première fois  que José Cano Lopez a vu un écrivain vivant, moi, il a eu peur. Car  n’oublions pas, pour José Manuel Cano Lopez, à part pour se plaindre et mirer son égo, tout ce qui se laisse entrevoir sur le Net n’est que fesse et ragot, toutes ces fesses et ragots tenant d’ailleurs à l’intérieur du volume nécessaire à héberger la créativité de ce grand artiste d’hier, ce muséographe de la littérature, volume insuffisant pour percevoir ce que j’écris vraiment.
Ce héros de la culture patrimoniale n’est pas cependant animé que par la bêtise, il y a aussi son corollaire, l’ambition d’un homme de cœur. Car José a du coeur. C’est officiel, il y a des témoins. Avoir du Coeur, ça va avec “théâtre”, “Tchekov” et “être de gauche”, c’est inclus dans le lot. En revanche, les édiles ont tout fait pour me réduire au silence et couvrir de leur méchanceté Thèse: derrière la violence physique et verbale de ce potentat de la culture subventionnée, fonctionnaire du théâtre, connaisseur des écrivains morts,  qui se prend pour un resistant sous pretexte qu’il vient passer des vacances payées au Grand Pressigny, il y a la volonté de tout contrôler y compris le developpement multimédia dans notre village…

16 février 2009 by Le fantôme de l'écrivain
(…) Et derrière, saison après saison, un excité au nom espagnol travaillait dur à justifier cette attitude. (…) Cet été José Cano Lopez m’aurait pleuré sur les souliers quand après avoir tenté de me porter sur les nerfs en vain en m’entreprenant physiquement et en m’assenant les ordures les plus massives de son esprit embrumé par la bière, qu’il aurait voulu insultantes, il a feint de vouloir discuter en homme de cœur, bouleversé, en réalité me jouant le numéro de Tartuffe qu’il réserve sans doute à ses bourgeois du Grand Pressigny: à quel point point j’avais bouleversé le brave homme, non pas en écrivant, non pas en évoquant la possibilité, mais en laissant la place à la possibilité pour le lecteur de croire qu’il pouvait être, lui, José Manuel Cano Lopez, génétiquement programmé à être un génie de l’art,  de gauche.
Ah! Cet acharnement des gens de la culture cultivée, mais pas trop quand même, à vouloir être de gauche.  Moi je suis de droite, j’aime l’argent, je n’ai pas de haine particulière contre le capitalisme, et même les notables, du moment qu’ils assument, et pourtant je suis un artiste, comme lui. José lui est de gauche, il évite de parler d’argent, il encaisse. II fait de l’art pur, du produit cordial brut, de l’esprit généreux et désintéressé.

5. 20 février 2009 by Le fantôme de l'écrivain
( …) Alors, je vous le dis, en vérité, José Cano Lopez déteste les honneurs, c’est un ordre, et s’il a choisi de se tailler sa place parmi les notables du trou du cul du monde, s’il a renoncé aux honneurs parisiens, à Tom Cruise, aux effets spéciaux, c’est à cause de sa foi gauchiste dans l’œuvre morale et civilisatrice de Jean Vilar. Obéissez.
Lui aussi il veut un festival, comme Jean Vilar, mais à la différence qu’on ne jouera que du Cano Lopez. Et quand Télé-populo pointera son objectif, on verra apparaître le museau de Tartuffe proclamer: Ici, on joue le texte que moi, José Manuel Cano Lopez, j’ai volé à des morts, j’ai tout volé, de A à Z, de quoi faire parler tous les comédiens, vous vous rendez-compte, hein? Incroyable, extraordinaire. Répétez. (…)
C’est pourquoi j’ai voulu former, à partir de ce blog, le Collectif des amis de Tartuffe. L’objet du collectif est de réunir les subventions et les forces en présence pour créer une pièce entièrement nouvelle, spectaculaire, avec jongleurs, cracheurs de feu et autres manifestations de rues et dont le but ne sera pas culturel, car étant contre José Manuel Cano Lopez, notre collectif ne peut être qu’animé de mauvaises intentions. Notre spectacle s’appellera Tartuffe, le pharmacien et le médecin. Nous sommes ouverts à tout. Une seule condition, être l’ennemi du maire, du médecin et de Tartuffe. Comme l’association Côté Jardin, il s’agira de prendre toutes les décisions dans la clandestinité, de recueillir le plus d’informations sur l’utilisation de l’argent public dans le canton du Grand Pressigny et de mener des enquêtes sociologiques  sur la véritable participation des habitants et sur l’argent versé aux amis et parents de Tartuffe. Nos réunions auront lieu dans l’ombre et nous tiendrons notre armée secrète et méchante informée, heure après heure, de l’évolution de notre aigreur. Il s’agira également de recueillir une subvention de la Mairie du Grand Pressigny et recueillir toutes les lettres anonymes dénonçant notre Jean Moulin culturel local, car n’oubliez pas, nous autres, qui avons osé écrire quelque chose, nous sommes des dictateurs. C’est Jean Tartuffe Cano Vilar Moulin qui me l’a dit, de moi à vous, comme je vous dis, de vous à moi, des dictateurs. Garde à vous, répétez, obéissez.

6. 3 mars 2009 by Le fantôme de l'écrivain
Sous couvert de décentralisation de la culture, le train viendra de Paris et il coutera cher. C’est pourquoi les notables culturels du Grand Pressigny sont de gauche. De droite on leur dirait monsieur, votre gare modernisé ne va rien décentraliser,  rien du tout, votre soi-disant Molière de Pézenas ne pèserait rien sans la capitale et encore moins sans le ministère. Vous aurez beau jouer tout le répertoire contemporain, parisien il est, il restera.  C’est que la gauche ça permet de faire passer non seulement les couleuvres, mais les trains. Donc, on fera passer le train des oligarques de la culture, des sénateurs de l’art,  et on appellera ça du changement, tout passe, sous l’œil du pharmacien, du médecin et du Tartuffe.
Le correspondant local de la Nouvelle République n’aura qu’à bien se tenir et crier avec les oies du Plessis (anciennement des pigeons métamorphosés par la grâce de la promotion fonctionnelle des logiques ascensionnelles) bravo! bravo! bravo! Dans cette ambiance terroriste, celui qui n’y croit pas n’aura qu’à se tenir coi, dans l’ombre. Le Pôle Gare du Sud, c’est du lourd, c’est antérieur à l’âge de fer. On ne remettra pas ça en question, c’est autoritairement de gauche pour le bien de la population, pour son avenir. Grâce à la programmation de José Manuel Cano Lopez, dont le cerveau est branché sur les bonnes édiles de la nation, ce qui remplace largement les antennes, les habitants de la Touraine côté Sud ne seront plus condamné à la télévision. En plus, quand ils auront vu une seule pièce de Tchékof, ce sera fini de leur innocence, eux aussi ils voudront être de gauche, monter à Paris (mais d’abord c’est à Tours, et un tampon de José Manuel Cano Lopez, effectivement, peut vous promouvoir).
Et il y eut des dizaines d’autres déclarations de guerre, de haine. Voilà le vrai Monsieur Murcia, le noble « journaliste et écrivain ».
Toute sa stratégie, qu’il n’aura de cesse d’appliquer pendant les années à venir, est clairement annoncée, certes remplie de contradictions : lui l’homme qui vilipendait « la cour de droite » du Grand-Pressigny est devenu un homme de droite haïssant tout ce qui peut ressembler à une idée ou à un homme de gauche.
Il injurie, malmène, ment (en le reconnaissant lui-même), il avoue qu’il veut faire mal et uniquement faire mal. Il détruit d’emblée le projet de la Gare du Sud, m’insulte ainsi que tous mes proches..
Salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose !

Bien entendu, je me refuse de répondre à ce torchon d’insanités et M. Murcia me relance (appuyons bien là où cela fait mal ! doit-il penser) :

De :                 murcia.pierre@wanadoo.fr
Objet : Bonjour José
Date : 3 avril 2009 11:47:10 HAEC
Bonjour José, Après pannes et pires galères avec les notables du Grand Pressigny (implosion familiale comprise), j'ai retrouvé ton adresse mail et je suis heureux de te faire découvrir un blog où tu pourras te lâcher sur la mafia locale, en plus de soutenir une action salutaire.
Le fantôme répondra scrupuleusement à tous tes commentaires, et il reconnaîtra ton style de pseudo... A bientôt j'espère, Pierre.

La haine est toujours aussi vivace (« la mafia locale »), les rancoeurs aussi (« implosion familiale comprise »). Et pour moi, l’incompréhension : comment ose-t-il provoquer ainsi ?…
Nous verrons par la suite que M. le « démocrate » érige la provocation et la manipulation en art de « vivre » ou plutôt en art de massacrer la vie.
Un nouveau coup de théâtre semble apaiser le cauchemar :

De :                 murcia.pierre@gmail.com
Objet : Grand Pardon
Date : 10 avril 2009 19:35:47 HAEC
Grand Pardon oh José, voilà ! Moi aussi je peux me mettre à dire des conneries tu vois, on est deux! Bon courage et bonne continuation au Grand Pressigny! Pierre Murcia

Ce 10 avril, M. Murcia « écrase » son blog et fait disparaître le flot d’insanités dont vous venez de lire quelques extraits. Nous sortons meurtris, blessés, défaits de ces mois nauséabonds.


JUIN 2009 : SECOND BLOG ASSASSIN ET L’AGRESSION DE LA SALLE DES FÊTES

Nous préparons alors la nouvelle édition des « Paysages ». Deux mois après son acte de « contrition » (« Grand Pardon, José »), le répit est de courte durée puisque, le 12 juin, M. Murcia crée un nouveau blog qu’il nomme « Blog de l’association Côté Jardin » !
La provocation est impensable, même pour les esprits les plus « tordus » : après des mois de harcèlement et de haine, il prend le nom de l’association qu’il a essayé d’abattre !
Comme à son habitude, il l’annonce à grand renfort de mails.

De :            centre2cri@gmail.com
Objet : Blog Côté Jardin
Date : 12 juin 2009 14:25:19 HAEC
Bonjour à tous, Je vous invite à découvrir le nouveau blog de l'association Côté Jardin. Pierre Murcia

Le samedi 13 juin se tient la réunion de préparation des « Paysages Nocturnes », à la salle des Fêtes, réservée aux adhérents de l’association, aux bénévoles et aux acteurs. Le matin même M. Murcia a publié sur son blog une nouvelle déclaration de guerre où fleurissent, de nouveau, les insultes, les mensonges et les menaces. Nous l’avons tous lu avant la réunion.

Côté Jardin a besoin de larbins?
Vous connaissez la chanson, le festival du Grand Pressigny pompe l’argent de la culture pour le donner à la compagnie de José Manuel Cano Lopez. C’est ce que les sales ragots qui trainent entre latrines et baquet, par ceux qui identifient l’association Côté Jardin à l’équipe municipale, répètent à tous les envieux. Les bruits ne font pas que courir, Alan Poquet veut clouer le bec à tous ceux qui sont de méchante humeur, tout en refusant de montrer le salaire de son ami Cano Lopez. Il sait qu’on dit du mal de lui. On en dit, oui, beaucoup. Finalement, il annonce un triomphe pour la 11ème édition du festival, quelque chose de grandiose. Les gens parlent de 200 000 euros pour mettre en scène ce triomphe, qui le sait, qui peut le savoir? Pas moi.
Je vais tenter d’adhérer aujourd’hui à l’association. En tant qu’auteur dramatique ayant des liens fort avec le village, je n’ai pas été sollicité pour faire du théâtre. Il manque peut-être d’argent dans les caisses. Aujourd’hui, l’association recrute des bénévoles: « Nous avons besoin de nombreux bénévoles au cours de ce mois, qui pourront œuvrer à la réussite de ce festival, dans les domaines variés » On l’a compris. On l’a compris, les notables comptent sur vous. Moi, je suis au RSA, vous savez ce que c’est, c’est du temps libre pour faire la vaisselle et s’occuper des gosses. Alors, monter et démonter, balayer et tout le barda, tu m’as compris, ce qu’il me faut c’est la fraîcheur du blé.
Et médecin, combien ça gagne? Et pharmacien? Et José Manuel Cano Lopez? Pardonnez, seigneurs, je n’ai pas les moyens de me divertir en composant de l’art pour l’art: les vers chez moi, c’est une question de survie.

Et c’est cet individu qui se présente à la réunion ce samedi après-midi, où se trouvent rassemblée une centaine de personnes (dont de nombreux enfants).
Je le rappelle : il s’agit là de la réunion de préparation réservée aux bénévoles, aux adhérents et aux acteurs du festival, annoncée certes par voie de presse, mais en aucun cas, une conférence de presse. Sans dire un mot, Monsieur Murcia s’installe au fond de la salle des Fêtes, et tient ce que je prends pour un appareil photo à la main (qui se révèlera être une caméra vidéo)..
L’agression de M. Murcia vient de commencer… Elle va durer une heure.
Nous n’osons rien lui dire, il y a là de nouveaux acteurs et des enfants. Et, il faut bien l’avouer, il nous fait peur.
La tension est extrême pour tous ceux qui ont suivi et subi les deux années de violence et de haine par lui perpétrées. La provocation est invraisemblable, après tous ces mois d’attaques et sa nouvelle déclaration du matin…
Nous essayons de mener calmement la réunion. Mais cela ne lui suffit pas. Petit à petit, il s’avance vers moi de plus en plus près. Les personnes présentes sont stupéfaites, sa violence est insoutenable. Je m’éloigne pour essayer de retrouver un semblant de sérénité, je reviens vers l’assistance et lui s’avance avec son appareil à quelques centimètres de moi.
La suite, vous pouvez la visionner sur son blog. La vidéo ne démarre que quand je suis obligé d’interrompre la réunion devant une telle violence…
Je lui demande d’arrêter, il ne dit rien et s’avance encore plus près… On lui demande d’arrêter, il s’approche encore plus.
Tout le monde est abasourdi et inquiet. L’équipe du Festival le fait sortir de la salle.

M. Murcia a une nouvelle fois tout manipulé, il a triché avec la vérité sans aucune vergogne. Il n’a pas mis en ligne l’ensemble de la vidéo, et présente son éviction de la salle en la coupant de tout le contexte de haine et de violence qu’il avait engendré ce matin-là, cet après-midi là, et depuis de longs mois.
Je me rends aussitôt à la gendarmerie avec un autre membre de la réunion pour faire part de l’incident…
Le soir même sur son « blog », M. Murcia refait l’histoire, manipule les faits et sème sa haine

Faites parler d’argent à un artiste de gauche, il devient nerveux. Si en plus, vous lui imposez l’œil narquois d’une caméra de droite, il n’y tient plus.
Ca se passait à la réunion de Côté Jardin annoncée dans le post précédent, le grand metteur en scène andalous s’apprêtait à parler de pourquoi on peut pas payer tout le monde.
J’aurais volontiers écouté la réponse de José Manuel Cano Lopez, mais j’étais dehors. Ou plutôt mis dehors, par José Manuel Cano Lopez, le président de l’association Alan Poquet, et deux intermittents sûrement payé par Côté Jardin. (…) Au moment où je m’apprêtais à filmer la réponse à ma précédente question, qui est payé, et qui n’est pas payé, en gros, viré, manu militari, le grand metteur en scène a ses nerfs, le blogueur se retrouve enfermé dehors, libre et fumant dirait le poète! Mauvais début pour le blog de l’association Côté Jardin.
La question maintenant, demeure de savoir si je peux publier la vidéo. Elle est intéressante car elle montre un Cano Lopez qui peut compter sur ses troupes, fort de ses richesses publiques. Et ses hommes de mains payés, c’est sûr.Un homme public parlant publiquement des deniers publics, dans le cadre d’une activité associative culturelle à prétention nationale, vous parlez d’un coup tordu pour le blog de l’association qui lui donne à manger! (…)
Du nouveau prochainement, pour nos lecteurs amis du festival des Paysages Nocturnes.

De nouveau, le mensonge : « Mauvais début pour le blog de l’association Côté Jardin. (…) vous parlez d’un coup tordu pour le blog de l’association qui lui donne à manger! »
Comme si ce blog honteux était celui de l’association Côté Jardin alors qu’il s’agit de son propre blog massacrant à tour de bras la dite association !
Et l’insulte toujours : « elle montre un Cano Lopez qui peut compter sur ses troupes, fort de ses richesses publiques. Et ses hommes de mains payés, c’est sûr… » .

« Des hommes de mains payés, c’est sûr » qui font écho à « la mafia locale » d’avril et qui deviendront en juillet «  une bande de voyous qui sévit régulièrement au village chaque été. » (mail du 13 juillet envoyé à la presse par M. Murcia ) ou « des délinquants » se jetant sur lui (« post » du 19 juillet) !

JUILLET 2009 : INSULTES, HARCÈLEMENT, MENSONGES

Et Monsieur Murcia va se déchaîner dans les jours qui suivent et pendant de longs mois. Crachez, crachez, il en restera toujours des traces !

Quelques extraits, preuves du « dialogue démocratique » instauré par le « journaliste – écrivain » nommé par lui-même « blogueur officiel de l’association Côté Jardin » ! :

Pierre Henri Murcia Calderon contre José Manuel Cano Lopez. Suite à la manière dont Tartuffe et le général on usé de leur potentiel populaire pour clouer le bec au droit d’informer, une première réaction du blogueur officiel de l’association Côté Jardin.
Je suis de droite. Contrairement à mon frère de sang espagnol, mon double, mon ami et tristement célèbre José Manuel Cano Lopez, je ne supporte pas les gauchistes. Ils sont mal habillé, ils se croient branchés sur le Grand Dharma, ils ont le mot conscience plein la bouche et les mains pleines de bon sentiments. Je trouve insupportable cette manière d’entartuffer la bourgeoisie locale.
La première fois que j’ai offensé le grand metteur en scène, c’est quand j’ai laissé entendre, sur le Bondy Blog, qu’il y avait quelque chose d’incontestablement à droite dans son entourage. Ce n’était pas une offense pour moi, au pire une erreur d’appréciation. Je ne vois pas ce qu’il y a de mal à être dans le patrimoine, la frange urbaine des notables du Grand Pressigny. Mais ils ont tous pris ça pour de la calomnie, comme si moi qui suis de droite, je devais me cacher honteux dans l’ombre de leur dignité culturelle. Voilà mon crime. Aujourd’hui, il me plairait d’avoir un nom allemand. J’ai remarqué que José Manuel Cano Lopez à la réunion du samedi 13 juin avait des noms allemands plein la bouche. (…) Au cours de cette réunion, Alan Poquet a manifesté des signes d’agacement quand une première fois avant de partir tout à fait dans sa mauvaise improvisation, le grand Tartuffe andalous n’a pu contenir une bouffée paranoïaque visant à expliquer pourquoi il avait la gorge serrée,  la glotte bulbeuse et les entrailles en friche. (…)
Il serait bon que José Manuel Cano Lopez remette son Tartuffe au costumier, rabatte un peu de son gauchisme et considère que dans le besoin l’esprit ne nourrit pas son homme. C’est un Grand Écrivain de Droite au RSA qui le dit. Aussi nous demandons au Général d’admettre en sa Jérusalem un blogueur confirmé, ainsi qu’au Tartuffe un peu d’épinard pour la soupe, le soir. Ou le partage du gâteau comme on dit au PS.

Insultes, mensonges, appellations frisant le racisme, tout y est dans le maelström nauséabond de notre « ami » (je n’ai pas corrigé l’orthographe libre du blogueur « officiel » sur l’ensemble de ses écrits) :
« je ne supporte pas les gauchistes. Ils sont mal habillé, ils se croient branchés sur le Grand Dharma »
« Aujourd’hui, il me plairait d’avoir un nom allemand. J’ai remarqué que José Manuel Cano Lopez à la réunion du samedi 13 juin avait des noms allemands plein la bouche. » 
« le grand Tartuffe andalous n’a pu contenir une bouffée paranoïaque visant à expliquer pourquoi il avait la gorge serrée,  la glotte bulbeuse et les entrailles en friche »

Et toujours cette soif d’être « considéré » comme un GRAND écrivain et un GRAND journaliste , mais aussi du « fric » !:
« Aussi nous demandons au Général d’admettre en sa Jérusalem un blogueur confirmé, ainsi qu’au Tartuffe un peu d’épinard pour la soupe, le soir. Ou le partage du gâteau comme on dit au PS. »
L’insulte, le harcèlement, la diffamation vont fleurir sur le soi-disant « blog de Côté Jardin ».
Un dernier exemple :
Pour ma part je me laisserai volontiers aller à croire que les Paysages nocturnes sont une vaste escroquerie à l’échelle cantonale. Quant aux responsables de l’association Côté Jardin, pire, depuis le début leur attitude ne fait que me conforter dans l’idée que je me trouve en présence d’imposteurs qui n’ont rien à gagner dans un véritable projet culturel. (…) J’ai compris que la majorité municipale est probablement complice de ce vol.
A quoi bon attendre qu’elle se récrie publiquement? Elle en est sans doute incapable comme elle a été incapable de prendre fermement position quand les délinquants Alan Poquet et José Manuel Cano Lopez se sont jetés sur moi à la salle des fêtes, pour se faire justice eux-mêmes en se réclamant d’une conception éhontée du droit à l’image. Ces gens savent tout. Ils peuvent tout se permettre. Ils peuvent même vous expliquer tranquillement que l’art, c’est eux et vous, vous n’êtes que de la “merde“, oui, c’est le mot qu’ils ont employé. J’aurais voulu vous épargner le vocable, chère lectrice, aimable lecteur, moi aussi il m’a écorché l’oreille en sortant de la bouche du Metteur en Scène Tourangeau (MST), en juillet 2008.
La caution de l’équipe municipale trahit la gérance de fait. Rien ne doit pousser à l’ombre de la Compagnie Cano Lopez. Aucun projet ne doit entrer en synergie s’il n’est pas entièrement au service des ambitions du grand homme de gauche, amoureux du partage et des pères de famille au RSA. Celui qui n’a pas assez de son château du Plessis, qui en veut un autre pour sa retraire, quand l’heure sera venu, pour ce grand Candide aux dents longues, de cultiver son Côté Jardin. Comme j’aimerais être de gauche, moi aussi.
L’opposition représentée par Claude Véron à manifesté clairement qu’elle ne cautionait pas ces pratiques. Il semblerait que je sois châtié pour avoir risqué de faire exister les remarques légitimes de l’opposition. Oui madame la contribuable,  monsieur le contribuable, voilà l’idée de l’information que ce fait l’homme qui prétend avoir des centaines de milliers d’euro à investir dans un projet culturel en Touraine Sud.
Je soupçonne donc les Paysages nocturnes de n’être qu’un paravent destiné à cacher des intérêts personnels. (…)
Je n’ai jamais été hostile au festival, mais l’argent est venu tout seul se mettre dans le problème. Je n’y suis pour rien, je fais ce que j’ai à faire. L’arrestation des escrocs ne m’intéresse pas. (…) Il faut cesser de mettre en doute ma qualité de journaliste citoyen et répondre à mes questions.  La culture populaire c’est aussi ça.

« Texte » exemplaire et riche en enseignements. « Texte » fondateur de la stratégie de destruction d’un projet artistique et des hommes et des femmes qui le portent avec passion :
La diffamation :
« Pour ma part je me laisserai volontiers aller à croire que les Paysages nocturnes sont une vaste escroquerie à l’échelle cantonale. Quant aux responsables de l’association Côté Jardin, pire, depuis le début leur attitude ne fait que me conforter dans l’idée que je me trouve en présence d’imposteurs qui n’ont rien à gagner dans un véritable projet culturel. »
« Je soupçonne donc les Paysages nocturnes de n’être qu’un paravent destiné à cacher des intérêts personnels. (…) Je n’ai jamais été hostile au festival, mais l’argent est venu tout seul se mettre dans le problème. Je n’y suis pour rien, je fais ce que j’ai à faire. L’arrestation des escrocs ne m’intéresse pas. (…) »
« La caution de l’équipe municipale trahit la gérance de fait. »
L’insulte :
« moi aussi il m’a écorché l’oreille en sortant de la bouche du Metteur en Scène Tourangeau (MST), en juillet 2008. »
Les rumeurs stupides et infondées :
« Celui qui n’a pas assez de son château du Plessis, qui en veut un autre pour sa retraire, quand l’heure sera venu, pour ce grand Candide aux dents longues, de cultiver son Côté Jardin. »
Le mensonge éhonté :
« quand les délinquants Alan Poquet et José Manuel Cano Lopez se sont jetés sur moi à la salle des fêtes, pour se faire justice eux-mêmes en se réclamant d’une conception éhontée du droit à l’image ».
« voilà l’idée de l’information que ce fait l’homme qui prétend avoir des centaines de milliers d’euro à investir dans un projet culturel en Touraine Sud. « 
Les appuis locaux de sa stratégie :
« L’opposition représentée par Claude Véron à manifesté clairement qu’elle ne cautionait pas ces pratiques. Il semblerait que je sois châtié pour avoir risqué de faire exister les remarques légitimes de l’opposition. »
L’inconcevable absurdité : « Je n’ai jamais été hostile au festival… » !!!!!!
Et toujours ce qui « le chatouille et le gratouille », la soif de reconnaissance :
« Il faut cesser de mettre en doute ma qualité de journaliste citoyen et répondre à mes questions. »
Des mois de haine déversée sans aucun répit. Les « posts » s’enchaînent, la violation de la vie privée aussi. M. Murcia en vient même à me suivre quand je rentre dans mon gîte après une répétition, me prenant en photo, portable à l’oreille, et publie la photo sur son « blog » avec ce commentaire (9 juillet 2009):
Le grand metteur en scène andalous est très inquiet, il téléphone.Il ne sait pas que je suis dans son dos et que j’entends ce qu’il dit. Or, il parle de…  je le dirai plus tard. »
La destruction se poursuit et la stratégie s’affine : le 27 juillet M. Murcia annonce sur son « blog » : « L’opposition m’a témoigné de sa sympathie et devrait pouvoir faire paraître un article dans la Nouvelle République. Beaucoup de gens au Grand Pressigny ont des choses à dire sur les Paysages nocturnes, nous sommes heureux d’avoir été les seuls à regarder les deux côtés de la réalité. »
M. Murcia a un petit temps de retard (il n’avait pas encore lu la « Nouvelle République » sortie le 25 juillet), mais il était parfaitement au courant de la « sympathie » de l’opposition à son égard et de la démarche engagée par celle-ci auprès du journal.
L’article est publié le 25 juillet, dernier samedi du Festival. Il éclabousse tous les acteurs et bénévoles qui travaillent avec force et passion, depuis un mois, à la réussite des « Paysages ». Tristesse, abattement, incompréhension font des dégâts considérables. À la lecture de « l’article », mes deux « doyens », présents depuis dix ans, pleurent…
Voilà in extenso l’article :
« Au Grand Pressigny, habitants et commerçants se sentent dépossédés de l’événement qu’ils ont créé.
On ne polémique pas avec les sentiments. Car il ne s’agit que d’un sentiment. Celui de la dépossession. Un sentiment exprimé à haute voix mais souvent avec l’exigence de ne pas voir son nom figurer dans le journal.
L’autre samedi, c’était la fête au Grand Pressigny avec la traditionnelle guinguette sur la place du village. Loin des « Paysages nocturnes » installés sous chapiteau près du terrain de foot. Loin de l’image d’un spectacle dans les ruelles, les cours, les jardins autour du château, un spectacle où les habitants, entourés d’une poignée de professionnels, avaient le beau rôle.
Ce que l’animation théâtrale a gagné en notoriété régionale, elle l’a perdu dans le coeur des habitants. “on ne se sent plus en liaison avec cette fête qui se déroule en petit comité, assure Louis. On est pas contre, mais on ne participe plus. Ceux que l’on qualifie de notables tirent la couverture à eux.” Lise abonde. “On y a usé les bénévoles. Aujourd’hui, ils viennent de Tours ou d’autres villages. Par son attitude, la troupe a été prise en grippe par la population”. Alentour, les réflexions continuent. “Animer le village, tout le monde est pour, mais le projet Gare du Sud où devraient se dérouler des spectacles nous inquiète. L’aménagement sera payé par des subventions, mais le fonctionnement retombera sur les finances locales. Les Paysages nocturnes ont complètement changé. C’est autre chose. Sur le principe, rien à dire. Ils sont simplement abandonnés de l’intérieur.”
Grise mine chez les commerçants. L’animation théâtrale était une des rares occasions d’animer le centre-bourg. Doris, la coiffeuse, résume leur sentiment. “Mes clients disent se sentir au placard. Cette fête, les pressignois l’ont inventée et maintenant, elle appartient à un groupe très fermé. Il ne se passe plus rien dans le village alors qu’il pourrait y avoir un compromis entre des représentations dans les rues et un autre lieu.”
Conseillère municipale, Mme Siquoir a fait partie de l’équipe fondatrice. “J’ai arrêté il y a trois ans car il fallait prendre une semaine de congés. J’aurais aimé jouer “Le Chapeau de paille d’Italie”, mais il fallait aller à La Riche chaque lundi soir pour les répétitions. Le climat s’est dégradé au fil des années entre un groupe plutôt bourgeois et des bénévoles plutôt ouvriers. Aujourd’hui, les Paysages nocturnes sont le contraire d’un lien social.”

Oui, Monsieur Murcia votre beau « travail journalistique et littéraire » a fini par payer, l’on retrouve, sans aucune ambiguïté, dans la bouche de vos « amis » de l’opposition, les ragots que vous colportez depuis 2007.
Voici le droit de réponse que j’envoie à la NR et qui paraîtra, de manière fragmentaire, en août :
QUELQUES RÉPONSES À QUELQUES INTERROGATIONS LÉGITIMES ET À BEAUCOUP DE FAUSSES INFORMATIONS ET RAGOTS…

Le samedi 25 juillet la Nouvelle République publiait un article « polémique » intitulé « Les Paysages Nocturnes s’assombrissent ». Le journaliste débarque le samedi 18 juillet au Grand Pressigny (village de 1100 habitants, situé à 55 km de Tours). Un crime, un tragique faits-divers ? Non, il va mener dans les commerces locaux ce qui pourrait s’appeler une « enquête de proximité » suite à des coups de fils de Pressignois, dira-t-il alors. Les témoignages sont donc anonymes sauf deux : celui de Doris, la coiffeuse, et de Mme Siquoir, conseillère municipale (dixit l’article).
Les soi-disant témoignages massacrent allègrement la manifestation les Paysages Nocturnes qui fête son dixième anniversaire (1999-2009. Le journaliste ne rencontre ce 18 juillet que des opposants, mais aucun commerçant ni habitant, ni élu soutenant le projet. Il ne rencontrera ni Alan Poquet, président de Côté Jardin, association co-organisatrice de la manifestation, ni moi-même, directeur artistique depuis 1999, créateur avec Côté Jardin (ex-Animation Pressignoise) des Paysages Nocturnes et conseiller artistique de la Gare du Sud.
Premier problème déontologique.
Le dimanche soir, un journaliste de la NR, au vu de la teneur de l’article, mènera un entretien téléphonique, avec M. Joannes, maire du Grand Pressigny, pour contrebalancer, un peu, le massacre premier.
Deuxième problème déontologique.
L’article paraîtra donc le samedi 25 juillet, le jour le plus «fort » en termes de fréquentation du Festival semant le désarroi, l’incompréhension et la douleur auprès des 150 acteurs, bénévoles et professionnels qui menaient un travail énorme depuis un mois.
En trente années de vie artistique, je n’ai jamais vu la Nouvelle République « flinguer » un festival en pleine activité !
Troisième problème déontologique. Le journaliste illustre son « enquête » par une photo de la Gare du Sud qu’il prend lui-même en s’accroupissant derrière un conteneur à poubelles ! Geste significatif de son éthique professionnelle et de ses intentions puisqu’on ne peut supposer qu’il ignore la lecture et l’impact d’une image !

Première « critique » :
La « dépossession » ou Les Paysages Nocturnes se sont éloignés du cœur du village.

Les Paysages Nocturnes ont été créés en 1999 par l’Association l’Animation Pressignoise (devenue Côté Jardin), sous ma direction artistique. Je donnai moi-même l’appellation « Paysages Nocturnes » à la manifestation. En 2001, les Paysages Nocturnes devinrent une coréalisation Animation Pressignoise – Compagnie José Manuel Cano Lopez. Ils n’ont jamais été dirigés ni par les habitants ni par les commerçants…
Toute l’évolution artistique s’est faite d’un commun accord entre les deux associations.
Depuis 1999 jusqu’en 2007, les Paysages Nocturnes se sont produits dans le cœur du village : ruelles, jardins, granges, places, château, caves… À l’exception de 2005, où la création se déroula exclusivement dans l’enceinte du château.
De nombreuses années, nous dûmes subir des annulations, reports et modifications liés aux conditions climatiques. L’année 2007 fut catastrophique : pluie, froid et orages pendant les trois jours. La première raison du changement géographique tient à cet élément vital pour la bonne santé économique de la manifestation.
En 2008, un premier changement eut lieu en repliant les spectacles dans la salle des fêtes, située à 3 minutes à pied de la place principale. Ce fut un succès remarquable.
En 2009, devant la faiblesse de la jauge de la salle des fêtes, la décision fut prise de déplacer les spectacles sur le terrain de sports de la commune, situé à 6 minutes à pied de la même place centrale !
Trois autres éléments sont au cœur de cette décision :
La lassitude des habitants du cœur du village (il y a deux ans nous ne disposions plus que de 4 lieux prêtés au lieu de 18 habituellement),
la nécessité artistique de changer la formule des Paysages après 9 éditions (usure de créer toujours dans les mêmes lieux),
la préparation à l’implantation des Paysages dans le site de la future Gare du Sud. La dite Gare du Sud qui sera elle située à 15 minutes à pied de la même place
Par ailleurs, il faut noter que la première partie du Festival (du 1° au 13 juillet) s’est déroulée dans le vieux village dans les jardins des habitants : 9 manifestations (lectures, concerts, projections) sur 9 soirées ! Jusqu’en 2007, les Paysages Nocturnes ne se déroulaient que sur trois soirées. Le cœur historique n’est pas mis au ban !

Deuxième « critique » :
Les Pressignois ne participent plus aux Paysages. Il y a beaucoup « d’étrangers ».

Si lors premières éditions les acteurs et bénévoles des Paysages Nocturnes venaient essentiellement du canton du Grand-Pressigny, des passionnés de théâtre venus d’autres communes ont rejoint le projet. Depuis 2005, les pourcentages, basés sur les origines géographiques des acteurs et des bénévoles, se sont stabilisés (avec une variante de + ou – 4% selon les années) :
50% participants du Grand-Pressigny et de la Touraine du Sud, 20% du Pays (Touraine Côté Sud), 15% d’autres communes d’Indre et Loire, 15 % d’autres départements (Centre, Poitou-Charentes, Nord-Pas-de-Calais, Paris…)

Les trois premières années (1999 à 2001), près de 80% des participants étaient issus du Grand-Pressigny et de ses alentours. La nature du spectacle (de nombreuses scènes étaient des tableaux muets) incitait une vaste participation de la population locale.
Il faut rappeler que les Paysages Nocturnes sont issus des Fantômes du Grand-Pressigny : une manifestation déambulatoire et muette dans les rues du villages pour le 15 août.
Le projet était bien de donner la parole théâtrale à tous.
En 2005, la création de Jean de la Fontaine-Fables circus ne comportait que des scènes théâtrales textuelles. Ce qui marquait une progression artistique remarquable.
Les temps de répétition se sont considérablement allongés, la rigueur du travail s’accentue chaque année. Cette exigence artistique a entraîné l’arrivée d’amateurs, issus d’autres communes, séduits par un véritable projet théâtral… Mais les Pressignois sont toujours majoritaires ! Il est clair aussi que l’on n’instaurera aucun critère de « préférence communale » pour participer aux Paysages Nocturnes !
Sans compter l’odeur nauséabonde que de tels propos véhiculent : « ils viennent de Tours et d’autres villages. » !!!
Il faut aussi signaler que les participants (acteurs, bénévoles et professionnels) s’installent au Grand Pressigny sur des durées de plus en plus importantes : une centaine de personnes enrichissent pendant tout le mois l’économie locale. N’oublions pas non plus que plus de 60 partenaires économiques ont soutenu, cette année, les Paysages dont 17 artisans et commerçants du Grand Pressigny.

Le nombre des acteurs participants est relativement stable (150 acteurs en moyenne jusqu’en 2005, entre 110 et 130 acteurs depuis). 102 acteurs composent la distribution de cette édition aidés par 98 bénévoles chargés de l’organisation du Festival qui a considérablement enrichi sa programmation cette année et, donc, la lourdeur de son organisation…

Après 11 éditions, l’on ne peut que noter la remarquable participation à un projet qui a gardé sa vivacité, sa passion, son attractivité parce qu’il a su évoluer en permanence…
J’imagine le bonheur des Pressignois s’ils s’étaient promenés en silence pendant 14 ans dans le village tous les 15 août !!!

N’oublions pas non plus que de nombreux Pressignois sont fidèles aux Paysages depuis leur début. Les trois doyens sont du Grand-Pressigny (trois magnifiques octogénaires) et la benjamine, du haut de ses quatre ans, est aussi native de ce beau village…

Troisième « critique » :
Florilège de ragots :
« Les notables » :
Absurdité totale tant dans la composition du CA de Côté Jardin (2 institutrices retraitées, 2 ouvriers, 1 emploi de vie scolaire, 1 agriculteur retraité, 1 employé de banque, 1 enseignante en L.P, 2 retraités, 1 instituteur en activité,1 sophrologue,1 assureur, 1assistante en pharmacie, 2 femmes sans profession, 1 exploitant agricole,1 consultant en gestion, 1 médecin),
Dans le profil sociologique des 150 organisateurs : il n’y a pas 150 notables !
Et même si tel était le cas, faudrait-il ressortir les guillotines ?
« La fête qui se déroule en petit comité» :
Le petit comité a rassemblé cette année 3350 spectateurs !!!
« Par son attitude, la troupe a été prise en grippe par la population.» :
Exemple même d’un « journalisme » nauséabond, semez de l’ordure (accroupi derrière un conteneur à ordures de préférence) et il en restera toujours quelque chose ! Quelle attitude ? Quelle population ? Revenez au Grand Pressigny et enquêtez réellement !

Quatrième « critique » :
Les mensonges éhontés de Madame Siquoir
« J’ai arrêté il y a trois ans car je devais prendre une semaine de congés » :
Premier mensonge : les acteurs ont plusieurs possibilités pour participer aux Paysages qui tiennent compte de leur disponibilité : un atelier hebdomadaire annuel, 1es deux premières semaines de juillet, quatre jours de répétition etc… Le dernier groupe répète uniquement le vendredi et le samedi pour jouer le dimanche. Est-il possible que Madame Siquoir ne puisse pas prendre un seul jour de congé ?
« J’aurai aimé jouer « Le Chapeau de paille… » mais il fallait aller à la Riche chaque lundi soir pour les répétitions »:
Deuxième mensonge : cette pièce a été répétée uniquement au Grand Pressigny du 1° au 16 juillet. De plus, Mme Siquoir pouvait encore s’inscrire à 8 autres créations toutes répétées pendant le mois au Grand Pressigny. Il est vrai que j’aurais dû prévoir une pièce dans les moments de repos de Mme Siquoir !!!!
« Le climat s’est dégradé entre un groupe plutôt bourgeois et des bénévoles plutôt ouvriers. »:
Troisième mensonge (gros et sale !): rencontrez les participants des Paysages et comparez avec les haines de Mme Siquoir. Il est vrai que sa vision du monde s’est arrêtée à la mort de Staline . Peut-être faudrait-il songer à installer un goulag ? Peut-être à la Gare à côté des conteneurs !
« Aujourd’hui les Paysages sont le contraire d’un lien social.»:
Quatrième mensonge éhonté : Mme Siquoir boycotte les Paysages depuis 2004. Elle ne connaît plus la manifestation et confond ses vieilles rancunes avec la vitalité et la générosité de la manifestation. Le lien social se vivifie d’année en année.
Élodie Butet, journaliste de la même NR, a passé une demi-journée au Grand Pressigny. Son article, publié le 16 juillet, met l’accent sur le lien social. Elle donne la parole, notamment, à Nenette et Lulu, les doyens du Festival : «  Ce qui est agréable, c’est qu’on se retrouve tous dans la convivialité et la solidarité. » Ou encore à Dominique, habitant le village voisin de Paulmy : «  Dès lors qu’on arrive dans l’équipe, il n’y a plus d’étiquette, de classe sociale, d’âge… » Élodie Butet conclut ainsi : « Et puis ce charme si particulier des Paysages Nocturnes n’est-il pas dû aux bénévoles et aux acteurs plus qu’aux lieux. Et de ce côté-là rassurez-vous rien n’a changé ! »
Et oui, les deux articles ont bien été publiés dans la NR à une semaine d’écart !

Cinquième « critique » :
La Gare du Sud
La peur de certains habitants ou élus de la création prochaine de la Gare du Sud peut sembler légitime. L’opposition virulente de certains sur l’utilité d’un centre culturel et même sur l’intérêt des pratiques culturelles fait froid dans le dos…
La crainte naîtrait des futurs coûts de fonctionnement de la Gare du Sud.
Nous aurons l’occasion de présenter l’intégralité du projet très prochainement y compris dans tous les aspects financiers. Néanmoins, je peux, d’ores et déjà, vous annoncer que nous travaillons actuellement, avec la Mairie du Grand Pressigny, le Pays Touraine Côté Sud et la Région Centre,  sur une projection budgétaire très précise et rigoureuse.
L’apport en fonctionnement de la Commune se situerait dans des proportions extrêmement raisonnables : au niveau du coût de remplacement des gravillons pendant un an dans la dite commune !!!!
La vie artistique et culturelle vit des moments extrêmement difficiles.
Il est de notre devoir de faire preuve d’une grande rigueur avant de sortir son revolver.
On ne peut pas jouer avec cet engagement.

José Manuel Cano Lopez, Directeur artistique et fondateur des Paysages Nocturnes,Conseiller artistique de la Gare du Sud, Metteur en scène »

Nous sortons tous brisés de ces mois d’acharnement…
Et effectivement, Monsieur Murcia avance bien dans sa destruction annoncée :
« Nous même, comme nous y sommes fermement résolus, nous ne feront pas de quartier. Si quelques imbéciles sans coeur s'en étonnent, pourquoi mollir ? »

LE PROCÈS / 1° ÉPISODE : JUGEMENT EN RÉFÉRÉ

Devant la multitude de « textes » insultants, diffamatoires, haineux, devant la multitude de mensonges, la manipulation permanente, je consulte mon avocat.
De leur côté, l’association Côté Jardin et son président portent plaine contre M. Murcia.
Je ne m’étendrai pas sur ces longs mois où rien ne semble pouvoir tempérer la haine de « l’écrivain – journaliste ».
En décembre, le tribunal de Grande Instance de Tours déclare :
« Par ordonnance du 1° décembre 2009, enregistrée au répertoire général du greffe sous le n° 09/20542, le Juge des Référés et du Tribunal de Grande Instance de Tours a notamment :
dit que M. Pierre Murcia avait publiquement diffamé M. Alan Poquet et injurié publiquement ce dernier dans ses écrits des 19, 27 juin, 1er, 2, 3, 10 et 22 juillet 2009,
enjoint, en conséquence, à M. Pierre Murcia de supprimer de son blog intitulé « paysages nocturnes.woordpresse.com ». lesdits écrits et ce, dans les cinq jours de la signification de l’ordonnance et, passé ce délai, sous astreinte de 1000€ par jour de retard..
Cette ordonnance a été signifiée à M. Pierre Murcia le 21 décembre 2009. »

« Par ordonnance du 1° décembre 2009, enregistrée au répertoire général du greffe sous le n° 09/20543 et 09/20544, le Juge des Référés et du Tribunal de Grande Instance de Tours a notamment :
Ordonnance 09/20543 : dit que M. Pierre Murcia avait publiquement diffamé l’association Côté Jardin et publiquement injurié celle-ci par ses écrits des 14 et 22 juillet 2009, et enjoint, en conséquence, à M. Pierre Murcia de supprimer de son blog intitulé « paysages nocturnes.woordpresse.com ». lesdits écrits et ce, dans les cinq jours de la signification de la dite ordonnance et, passé ce délai, sous astreinte de 1000€ par jour de retard.

Ordonnance 09/20543 : enjoint à  Pierre Murcia de supprimer du nom de domaine de son site actuellement « Paysages nocturnes.wordpress.com » et de la page d’accueil de son site actuellement Côté Jardin Blog Paysages Nocturnes, les noms de l’association demanderesse et du festival organisé par elle et ce, dans les huit jours de la signification de la dite ordonnance et, passé ce délai, sous astreinte de 1000€ par jour de retard. »

La décision est claire et pourtant M. Murcia poursuit sa destruction… Articles vengeurs, coups de fils multiples à toute heure, mails incessants et dans tous les horizons… Un seul exemple, son « post »  du 29 décembre :
« Les évidences de Monsieur Caylar ont le poids de l’autorité, mais vous, membres de l’association Côté Jardin, pensez-vous pouvoir l’emporter au Paradis? (…)
Et voici encore que le juge Caylar pense que les internautes ne sont pas assez grands pour faire la part des choses (…) Monsieur Caylar, qui a confondu ce site avec les papiers qu’on lui a mis sous les yeux, voudrait à présent remettre en cause la pratique du buzz née avec l’internet. Alan Poquet et lui se sont rencontré. Ils sont fait pour s’entendre…
Le jugement basé sur les évidences du président du Tribunal de Tours, Monsieur Caylar, m’oblige de respecter la volonté du peuple,  et en même temps ce jugement prend le peuple pour un imbécile, car seul un crétin en phase terminale pourrait accepter sa composition. Car si les membres de l’association Côté Jardin font appliquer l’ordonnance il faudra que j’obéisse. Mais  si j’obéis, c’est que j’admets aussi de soumettre mon intelligence à une idiotie incontournable. Comme Monsieur Caylar voulait me condamner et n’avait aucun élément, il a écrit (je résume): il est évident que monsieur est coupable donc je le condamne, et il m’a condamné. (…)
Les évidences du juge me demandent d’accepter que les Paysages Nocturnes ne sont pas la propriété de tous les habitants du Grand Pressigny, et que le Grand Pressigny est la propriété d’Alan Poquet. Or c’est non. Non et non. (…)
En prenant ses insultes pour des évidences et ses évidences pour des preuves  le juge commet une erreur qu’on sanctionnerait sévèrement chez un élève de premier année d’école de la magistrature; le juge m’oblige à me soumettre  à un tel mépris de l’intelligence que se serait renier Montaigne, Tocqueville, Emile Zola et Michel Serres, tout ceux qui font et nourrissent mon sentiment républicain. (…)
J’appelle donc Hervé Novelli en sa qualité de candidat UMP aux régionales, à informer Nicolas  Sarkozy, Président de la République mais aussi président du Conseil supérieur de la magistrature, qu’en Touraine un juge se permet de prendre ses insultes pour des évidences et de s’en servir pour condamner des citoyens méprisés dans leurs droits fondamentaux. Cela pour le cas où les membres de l’association décideraient de persévérer dans leur démarche odieuse. »

Jugement pas jugement, respect de l’autorité judiciaire, pas de respect : M. Murcia est au-dessus des lois et ses insultes et sa rage n’épargnent même pas un juge de la République. Rien n’y fait. Il refuse de se plier aux injonctions du tribunal et l’astreinte court.
Il finit enlever les articles condamnés de son blog avec cette invraisemblable annonce :
Le contenu antérieur au mois de novembre 2009 est censuré.

Mais les menaces perdurent par mails ravageurs :
« Bonjour à tous,
Après le départ de Monsieur Cano Lopez je souhaite que l'association Côté Jardin ne persévère pas dans l'attitude contre-productive qui a consisté, jusqu'ici, à mépriser l'intérêt de l'internet et de mon travail en terme de communication numérique, et à justifier de quelque manière de m'avoir chassé d'un lieu public le 13 juin, avant d'oser prétendre juger ma juste indignation. J'ose croire qu'elle ne me contraindra pas à dépenser toute mes compétences d'écriture, de journaliste et de webmestre à lutter contre vous. Je suis père de famille au Grand Pressigny, et j'entends contester votre légitimité dans le domaine culturel  tant que vous contesterez la mienne. Si tel devait être le cas j'en serais profondément désolé. Nous avons du travail à faire ensemble et ce n'est pas de cette manière que nous pourrons avancer. Je vous demande de renoncer à votre procès dans un premier temps. Dans un second, vous reconnaîtrez ma qualité de journaliste comme je n'ai moi même jamais contesté la qualité de médecin de monsieur Poquet ou de metteur en scène de Cano Lopez. Un échange de bons procédés, entre habitants d'un même village, c'est indispensable. Il faut que tout le monde vive.
Pierre Murcia, Père de famille au Grand Pressigny »

Et toujours les mêmes obsessions : « Dans un second temps, vous reconnaîtrez ma qualité de journaliste… » ! Et toujours les mêmes mensonges… Et il met en place un nouveau système de défense ignoble, honteux, pitoyable (« Père de famille ») que, par respect, je n’analyserai pas ici… Il m’est impossible de descendre, malgré tout, dans cette fange qui lui est si nécessaire pour vivre… 

DES MOIS D’ATTAQUE : TOUJOURS…

Et les mois passent sans aucun répit. M. Murcia salit, crache, insulte, diffame avec toute sa puissance de feu : blog, textos, mails, coups de fil.
Tout y passe : les projets artistiques ( sur « Les Paysages » 2010 : « Après la brillante performance de TV Tours, dans le genre intox, c’est cette fois au tour du quotidien La Nouvelle République d’y aller de son poncif avec les Paysages Nocturnes qui vous mettent en appétit. Ah bon. Parce que moi ils me dégoutent. ), les hommes politiques de droite comme de gauche et les personnes (amis ou ex-amis de M. Murcia, Alan Poquet et sa famille, moi-même et ma famille, les amis des « Paysages »)…
Il déverse sur tout et sur tous des monceaux d’ordures et tire à vue sans faire de quartier. Nous ne sommes pas surpris, il tient ses promesses !
Un dernier exemple. Voilà le traitement qu’il inflige à un projet théâtral mené en milieu rural (avec deux classes des écoles de Chaumussay et du Grand-Pressigny). Un projet portant sur l’appropriation par les enfants de la mémoire familiale et collective. Des mois de bonheur pour les élèves et les intervenants, un dialogue retrouvé entre générations qui ravit les 300 spectateurs des deux représentations en juin 2010. Un projet qui obtient le Prix « S’unir pour agir» de la Fondation de France (un organisme digne et respectable, n’en déplaise à M. Murcia).

« José Manuel Cano Lopez et les enfants pris en otage
June 20, 2010 in Cano Lopez
Souvenez-vous, le président Sarkozy rêvait de faire parrainer une victime des nazis par chaque enfant de nos écoles de France, et de faire lire la lettre de Guy Moquet en cour d’histoire. José Manuel Cano Lopez l’a fait. Personne ne lui a demandé mais il l’a fait. Car sachez-le, au Grand Pressigny, brosser les campagnes dans le sens du monument au mort et l’Éducation dans celui du nationalisme, c’est une façon imparable de s’attirer certaines faveurs.
Au départ, le projet hypocrite de de mettre les enfants en contact avec les artistes. Quoi? S’il y avait une occasion de rencontrer un artiste ne pouvait-on pas justement éviter celui qui s’impose dans le paysage des enfants du Grand Pressigny depuis avant leur naissance, ne pouvait-on pas éviter justement le seul artiste qu’ils n’avaient pas besoin de connaître en France? Honteux prétexte en vérité.
Voilà qu’aujourd’hui José Manuel Cano Lopez montre son vrai visage. Celui d’un homme de la droite la plus dure, capable du pire pour assurer sa retraite au Grand Pressigny. Je vous présente ici le blog macabre auquel ont collaboré scandaleusement les directrices des écoles de Chaumussay et du Grand Pressigny. Spinoza disait que le tyran règne par la tristesse. C’est de cette même tristesse que le conservateur José Manuel Cano Lopez veut à présent accabler nos enfants. Avec les chiens, les loups, le noir, la peur, la guerre, la violence et la mort.
La directrice de l’école sait quel mensonge cet homme est allé proféré devant nos institutions de Justice pour faire taire la liberté d’expression. Elle livre aujourd’hui nos enfants à l’œuvre morbide et funéraire de cet individu.
José Manuel Cano Lopez est à la hauteur du projet politique de François Nicolas Joannès, faire du Grand Pressigny un sanctuaire de la mémoire, le symbole thanatocratique de la tyrannie qui nous menace, celle des imposteurs dont le seul souci est de préserver leur part de gâteau, même s’il faut passer sur le corps de nos enfants pour ça. »
Toute l’œuvre de Pierre Murcia est résumée dans ce torchon d’insanités : la diffamation, le harcèlement moral, les insultes, la haine, les mensonges, la salissure, les ragots… Il ne connaît rien du projet, sauf son analyse délirante et perverse du blog du projet, il n’a rien vu des représentations, mais cela n’est pas un obstacle pour déverser sa bile putride…
 
LE PROCÈS / 2° ÉPISODE : JUGEMENT DE L’EXÉCUTION

Pendant de longs mois, et jusqu’à aujourd’hui encore (les preuves sont toujours présentes sue son « blog »), il va commettre l’une de ses plus invraisemblables manipulations. À longueur de textes mensongers et haineux, il tisse une nouvelle toile : essayer de faire croire que l’Association Côté Jardin, son président et moi-même (bien que je n’ai pas porté plainte contre lui, et je le regrette amèrement), nous avons arrêté les poursuites POUR FAIRE ÉLIRE M. HÉNAULT AUX ÉLECTIONS CANTONALES !
Je n’analyserai pas l’insondable bêtise, la stupidité de tels mensonges : ceux qui ont un peu de bon sens ne peuvent, au mieux, qu’en rire !
« Pierrot Says:
Pour la facture du tribunal, l’association Côté Jardin et Alan Poquet ont cessé toute réclamation. Quand ce site a pris de l’ampleur (il est assez fréquenté) réélection de Gérard Hénault aux cantonales aurait été sans doute perturbée par les persécutions judiciaires lancées en juin et abandonnées en octobre 2010 pour me réclamer 320000 EUR (frai et pénalité). Alors l’association Côté Jardin et Alan Poquet se sont débiné en douce. C’est la raison pour laquelle je republierai, petit à petit, tous les textes condamnés par la justice, à moins bien sûr d’avoir des excuses publiques. »
Et encore ( toujours présent sur son « blog ») :
«  En novembre 2010, pour ne pas gêner la réélection de Gérard Hénault aux cantonales et devant le succès de notre nouveau site, Alan Poquet, José Manuel Cano Lopez et l'association Côté Jardin ont renoncé discrètement à faire exécuter le jugement et ont avoué par là-même qu'ils ont mené un procès injuste qu'ils sont incapables d'assumer devant le public scandalisé. Marisol Touraine, trop occupée à devenir ministre, n'a pas bougé le petit doigt. »
Nous atteignons le fond du délire, du mensonge et de la manipulation. À côté de M. Murcia, Hamlet, qu’il aime bien, peut passer pour un exemple d’équilibre humain !
Monsieur Murcia connaît parfaitement les attendus du jugement qui fut rendu le 12 octobre 2010 par le Tribunal de Grande Instance de Tours ; oui, vous avez bien lu le 12 OCTOBRE 2010 !
Jugement Côté Jardin :
«  Par ces motifs :
Le Juge de l’Exécution statuant publiquement, par jugement réputé contradictoire et en premier ressort,
CONSTATE que l’ordonnance du Juge des Référés du Tribunal de Grande Instance de Tours n°09/20544 en date du 1° décembre 2009 a été régulièrement signifiée le 7 avril 2010.
LIQUIDE à la somme de 800€ pour la période du 16 avril au 19 avril 2010 inclus l’astreinte prononcée à l’encontre de M. Pierre Murcia par l’ordonnance de référé susvisée.
LIQUIDE à la somme de 22200€ inclus l’astreinte prononcée à l’encontre de M. Pierre Murcia par l’ordonnance n°0920543 rendue le 1° décembre 2009 par le Juge des Référés du Tribunal de Grande Instance de Tours.
CONDAMNE, en conséquence, M. Pierrmes e Murcia à payer à l’association Côté Jardin la somme de 23000€ en liquidation des deux astreintes.
CONDAMNE M. Pierre Murcia à payer à l’association Côté Jardin la somme de 1000€ au titre de l’article 700 du code de procédure civile.
CONDAMNE M. Pierre Murcia aux dépens dans lesquels sera inclus le constat de M. N du 6 avril 2010/.
Le Greffier : D.Castagné
Le Juge de l’Exécution : G.Nebesky »

Jugement Alan Poquet :
«  Par ces motifs :
Le Juge de l’Exécution statuant publiquement, par jugement réputé contradictoire et en premier ressort,
LIQUIDE à la somme de 22200€ inclus l’astreinte prononcée à l’encontre de M. Pierre Murcia par l’ordonnance du référé du 1° décembre 2009 n°09/20542 pour la période du 30 décembre 2009 au 14 avril 2010 inclus.
CONDAMNE, en conséquence, M. Pierre Murcia à payer à M. Alan Poquet la somme de 22200€ en liquidation de ladite astreinte.
CONDAMNE M. Pierre Murcia à payer à M. Alan Poquet la somme de 1000€ au titre de l’article 700 du code de procédure civile.
Condamne M. Murcia aux dépens.
Le Greffier : D.Castagné
Le Juge de l’Exécution : G.Nebesky »

Et M. Murcia continue de déblatérer et de manipuler. Il a été condamné, point barre ! Qu’il arrête enfin ses piteux mensonges.

ET MAINTENANT ?

Je m’étais juré de ne jamais répondre aux torchons publiés pendant de longues années par M. Murcia. Je n’ai pas tenu.
La lecture d’un insultant énième texte ordurier daté du 2 avril dernier et abjectement intitulé «  Grippe H1N1 – Quand Alan Poquet injectait le poison de Bachelot », m’a profondément révolté.
Le texte de trop. J’ai hésité longuement et j’ai, finalement, répondu :

CANO LOPEZ JOSÉ MANUEL Says:
Ta prose est vraiment à gerber
.
Ne vous inquiétez pas : je vous répondrai très prochainement et sans ambiguïté aucune (preuves à l’appui, comme on dit !) pour arrêter vos mensonges permanents.
 Ce sera la dernière fois que je “m’exprimerai” sur ce blog nauséabond…
Comment fait-on pour vivre quand on est rongé par tant de haine ?
That’s is the question ?
José Manuel Cano Lopez

L’engrenage était lancé. Je savais parfaitement que cela alimenterait la rage et la haine compulsives de M. Murcia. Et la réponse ne s’est pas fait attendre : de nouveaux mensonges, insultes, salissures. M. Murcia s’en prend à mes amis (je ne m’étendrai pas ici sur le chantage qu’il exerce par mails multiples et coups de fils intempestifs), salit les nouveaux « Paysages Nocturnes » en inondant de messages les municipalités qui nous accueillent, les journaux locaux, les associations, utilise le Festival et fait de son torchon de blog le site officiel…
Il sait parfaitement, malgré son apparente incohérence permanente, ce qu’il a fait :
« Pierrot Says:
José Manuel Cano Lopez
Je dis que le titre de “voyageurs inattendus” est trompeur. Il trompe sur les raisons de votre exportation dans les villages de Touraine. Ce n’est pas la grandeur d’âme et l’art champêtre qui vous conduit à prendre la route, mais le fait que vous avez des ennuis au Grand Pressigny.
Je ne suis pas pas le moindre de ces ennuis. »


Et aujourd’hui, il remet en place la stratégie de destruction qu’il a menée pendant quatre ans :
« Nous même, comme nous y sommes fermement résolus, nous ne feront pas de quartier. Si quelques imbéciles sans coeur s'en étonnent, pourquoi mollir ? »
Il a été condamné lourdement, peu lui en chaut, il piétine la justice.
Les ravages sont pourtant là car, profitant de l’espace de « liberté » ouvert par internet, ses insultes, ses diffamations restent indélébiles sur la « toile »…
Comment arrêter sa haine ? Un nouveau procès ? Le silence ?

Que ces lignes permettent, à ceux qui auront le courage de les lire, de connaître réellement qui est « Pierrot ».
Des dizaines d’autres textes, de mails haineux et salissants, de preuves sont en ma possession. Mais cette réponse est déjà beaucoup trop longue.


Je sais qu’il continuera à vivre de sa haine et de sa rage destructrices…
Quant à moi, je préfère me consacrer à ce qui fait ma passion et poursuivre mon engagement humain et artistique.

"Mais le temps n’est plus au rêve. J’ai peur parfois que nous passions pour des sots alors que nous frayons la voie à une existence infiniment plus belle. Nous sommes le rêve perdu du monde.
J’ai peur que son réveil ne nous efface complètement de son horizon et que nous ne soyons plus que des ombres pâles dont plus personne ne voudra et pas même les enchanteurs. Les hommes d’aujourd’hui ne veulent plus rêver, mais quand même le pessimisme de notre intelligence est bien moins fort que l’optimisme de notre cœur, c’est pourquoi nous continuerons.
Même quand tout est perdu, il y a toujours l’honneur de quelques-uns à sauver." (Don Quichotte à Sancho in « Moi Don Quichotte de la Mancha »

J’y crois toujours, Monsieur Murcia !

José Manuel Cano Lopez
Metteur en scène

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